
Transition des flottes d’entreprises : Hybrides vs Véhicules Électriques
En 2025, les véhicules hybrides (rechargeables et non rechargeables) occupent une place transitoire dans les flottes d’entreprises françaises, confrontés à une fiscalité durcie et à des normes environnementales strictes comme la directive CSRD et les Zones à Faibles Émissions (ZFE-m). Si les hybrides rechargeables (PHEV) et non rechargeables (HEV) offrent flexibilité et autonomie, la fin des exonérations fiscales et l’essor des véhicules électriques (VE) remettent en question leur viabilité à long terme. Dans ce contexte, *Greenway.care* aide les entreprises à optimiser leurs flottes, en sélectionnant des hybrides durables, en réduisant les coûts fiscaux, et en préparant la transition vers l’électrification. Découvrez ce que réserve l’avenir des flottes hybrides.
- Fiscalité alourdie : Fin des exonérations TVS et malus au poids pour les hybrides.
- Normes strictes : CSRD et ZFE-m favorisent les VE, mais les hybrides restent conformes.
- Greenway.care : Une solution pour équilibrer coûts et durabilité des flottes hybrides.

Fiscalité des hybrides : un virage en 2025
Depuis le 1er janvier 2025, la fiscalité des véhicules hybrides dans les flottes d’entreprises s’est durcie. La taxe sur l’affectation des véhicules à des fins économiques (ex-TVS) s’applique désormais aux hybrides rechargeables (PHEV) et non rechargeables (HEV), avec une composante CO2 et polluants atmosphériques. Pour un PHEV comme la Citroën C5 Aircross (110 g/km CO2), la TVS atteint 1 320 €/an, contre 0 € auparavant. Le malus au poids, abaissé à 1 600 kg avec un abattement de 200 kg pour les PHEV offrant plus de 50 km d’autonomie, touche des modèles comme le Ford Kuga PHEV (1 850 kg), entraînant un malus de 2 500 € à l’immatriculation.
L’avantage en nature (AEN) suit cette tendance. Les hybrides, taxés à 15 % du prix d’achat pour les véhicules mis à disposition après le 1er février 2025, perdent l’abattement de 70 % réservé aux VE (plafonné à 4 582 €/an). Pour une Toyota Corolla HEV de 28 000 €, l’AEN atteint 4 200 €/an, contre 840 € pour un VE équivalent après abattement. Cette fiscalité alourdit l’impôt des salariés et les cotisations des employeurs, réduisant l’attractivité des hybrides. *Greenway.care* aide à comparer les coûts, révélant que les VE économisent 20 % de TCO sur 3 ans pour une PME de services.

Malgré ces contraintes, les hybrides conservent des atouts. Les HEV, comme la Honda Jazz (4,5 l/100 km, 102 g/km CO2), ne dépendent pas des bornes de recharge, un avantage pour les collaborateurs en zones rurales. Les PHEV, avec 50-80 km d’autonomie électrique, réduisent les coûts carburant en usage urbain. *Greenway.care* analyse les profils d’usage pour recommander des hybrides adaptés, comme une entreprise de livraison équipant 30 % de sa flotte de Renault Captur E-Tech PHEV, économisant 12 % sur les carburants.
CSRD et ZFE-m : un avenir sous pression
La directive CSRD, obligatoire dès 2025 pour les grandes entreprises et 2026 pour certaines PME, exige une déclaration de l’empreinte carbone des flottes. Les hybrides, émettant 80-120 g/km CO2, alourdissent les bilans comparés aux VE (0 g/km en usage). Une flotte de 50 Hyundai Tucson PHEV (115 g/km) génère 6 tonnes de CO2/an, contre 1 tonne pour des VE, selon l’ADEME. Pour respecter les objectifs du Pacte Vert (-55 % d’émissions d’ici 2030), les entreprises doivent réduire la part des hybrides. *Greenway.care* propose des audits, comme pour une chaîne de retail passant à des Mazda 3 HEV (100 g/km), réduisant son empreinte de 10 %.

Les Zones à Faibles Émissions (ZFE-m), déployées dans des métropoles comme Strasbourg et Nice, autorisent les hybrides (Crit’Air 1), mais les VE sont mieux positionnés face aux restrictions futures. Les amendes de 68 € par infraction pour les thermiques Crit’Air 3 et plus poussent les entreprises vers des PHEV comme solution transitoire. *Greenway.care* source des PHEV conformes, comme le Peugeot 408 PHEV (60 km d’autonomie), évitant 25 % des risques réglementaires pour une entreprise de services.
La Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) impose 20 % de véhicules à faibles émissions (VE, PHEV, hydrogène) lors du renouvellement des flottes en 2025, avec des sanctions potentielles dès 2026 (2 000 €/véhicule manquant). Les PHEV, qualifiés si leur autonomie dépasse 50 km, restent viables, mais leur part de marché décline (7,2 % en 2024, selon l’ACEA). *Greenway.care* équilibre les flottes, comme pour une PME équipant 20 % de ses véhicules de Kia Niro PHEV pour respecter la LOM tout en limitant les taxes.
Hybrides face aux VE : une compétition inégale
En 2024, les HEV ont capté 22,09 % des flottes (+44,39 %), portés par des modèles comme la Renault Clio E-Tech (94 g/km CO2), tandis que les PHEV reculent (-10,07 %, 73 239 unités), freinés par un usage souvent thermique. En 2025, les HEV dominent (53 % des immatriculations flottes en mars), mais les VE progressent (11,59 %), dopés par l’exonération TVS et un abattement AEN de 70 %. Selon Arval, le TCO des VE est 15 % inférieur à celui des PHEV sur 3 ans, notamment pour les usages urbains. Une flotte de 50 VE économise 50 000 € en taxes sur 3 ans comparée à des PHEV.
Les hybrides séduisent par leur autonomie (700-800 km pour une Corolla HEV) et leur indépendance des bornes, mais leur poids (ex. : 1 950 kg pour un Tucson PHEV) et leur bilan carbone les pénalisent. *Greenway.care* optimise les choix en fonction des usages : HEV pour les longs trajets (ex. : commerciaux itinérants) et VE pour les zones ZFE-m. Une entreprise de conseil a équipé 40 % de sa flotte de Nissan Leaf (510 km d’autonomie), réduisant son TCO de 12 % face à des PHEV équivalents.

À l’horizon 2035, l’interdiction des hybrides neufs (PHEV et HEV) par l’UE signale leur fin progressive. Les constructeurs réduisent déjà leur offre hybride, avec Stellantis prévoyant 70 % de VE d’ici 2030. *Greenway.care* anticipe cette transition, en intégrant des VE reconditionnés pour les PME (15 % moins chers) ou des PHEV pour les besoins immédiats, comme une flotte de livraison adoptant des Fiat 600e hybrides, économisant 2 000 €/véhicule en carburant.
Greenway.care : naviguer la transition hybride
*Greenway.care* est un atout stratégique pour les entreprises en 2025, confrontées à la fiscalité et aux normes des flottes hybrides. La plateforme évalue les fournisseurs de PHEV et HEV selon leur éco-score, leur conformité CSRD, et leur TCO, proposant des modèles comme la Renault Arkana E-Tech (105 g/km). Intégrée aux ERP, elle génère des rapports carbone, comme pour une entreprise de logistique réduisant son empreinte de 15 % avec des HEV. *Greenway.care* anticipe les évolutions fiscales, comme une possible fin des abattements PHEV en 2027.
Pour les PHEV, *Greenway.care* maximise l’usage électrique en sourçant des bornes vertes. Une chaîne de supermarchés a augmenté le taux de recharge de ses PHEV de 35 %, économisant 8 % sur les carburants grâce à des bornes solaires. Pour les PME, la plateforme propose des hybrides d’occasion, comme des Honda Jazz HEV à 18 000 €, conformes aux ZFE-m et à la LOM. Ces solutions réduisent les coûts tout en préparant l’électrification.

*Greenway.care* renforce aussi l’attractivité RH. Avec 68 % des collaborateurs préférant des véhicules écologiques (Mobilians, 2025), les hybrides restent un argument, mais les VE gagnent du terrain. Une entreprise de services a attiré des talents avec 25 % de sa flotte en Peugeot 3008 PHEV, tout en planifiant 50 % de VE d’ici 2027 avec *Greenway.care*. En conjuguant fiscalité, durabilité, et image, la plateforme transforme les flottes hybrides en levier transitoire vers un avenir électrique.
Hybrides : un pont vers l’électrification
En 2025, les véhicules hybrides restent pertinents pour les flottes d’entreprises, grâce à leur flexibilité et leur conformité aux ZFE-m, mais leur rôle est transitoire. La fiscalité croissante (TVS, AEN, malus au poids) et les normes CSRD/LOM favorisent les VE, qui dominent en TCO et durabilité. *Greenway.care* accompagne cette évolution, en optimisant les hybrides aujourd’hui et en préparant l’électrification pour 2035, date de l’interdiction des hybrides neufs. Les entreprises proactives transformeront ces défis en opportunités, alignant coûts, conformité, et responsabilité environnementale.
Réponses à vos questions :
Pourquoi les hybrides sont-ils plus taxés en 2025 ?
Fin des exonérations TVS et malus au poids (1 600 kg, abattement 200 kg pour PHEV) augmentent les coûts.
Les hybrides sont-ils adaptés aux ZFE-m ?
Oui, classés Crit’Air 1, mais les VE sont mieux préparés aux restrictions futures.
Quel est le futur des hybrides ?
Transitoire jusqu’à 2035, leur part déclinera face aux VE, favorisés par la fiscalité.
Comment Greenway.care aide-t-il ?
En sourçant des hybrides durables, optimisant le TCO, et planifiant l’électrification.
Les PHEV sont-ils encore viables ?
Oui pour les usages urbains avec recharge, mais 15 % plus coûteux que les VE en TCO.
